Vivre après un cancer du sein...
Un défi qu’il n’est pas impossible de relever.
Elisabeth nous raconte son histoire
En octobre 2016, dans le cadre du programme de dépistage du cancer du sein une anomalie a été découverte chez Elisabeth Antonin Fux. Après des examens complémentaires et une biopsie, le diagnostic final tombe. Que provoque un tel diagnostic ? Et comment va Elisabeth aujourd'hui ?
Comment retrouver sa vie d’avant une fois que le diagnostic a été posé ?
« Les chances de rémission sont directement liées au stade de la maladie », explique le Dr Colin Simonson, médecin adjoint du Service de gynécologie et responsable médical du Centre du sein du Valais romand. « Plus le diagnostic est précoce, meilleures sont les chances de guérison. Pour les petites lésions de bon pronostic détectées au dépistage, 90 à 95% des patientes n’auront pas rechuté dix ans après le traitement initial. »
Aux traitements qui peuvent se révéler lourds s’ajoute cependant une charge mentale parfois difficile à surmonter pour les femmes qui ont connu cette maladie. Relative aux multiples rendez-vous médicaux, aux bilans, à l’organisation quotidienne, à la vie familiale, de couple, professionnelle, etc., elle peut être lourdement ressentie pendant la maladie et ses traitements, mais aussi après que cette dernière a été vaincue.
Le Nouvelliste, en collaboration avec Promotion santé Valais et le service de la santé publique à abordé le sujet dans une page santé, à lire ci-dessous.
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Vivre après un cancer du sein, un défi qu’il n’est pas impossible de relever |